« Je me dirige vers la balance : 33,8 kilos. J’ai encore perdu du poids, une partie de moi est satisfaite. Mais je suis triste aussi : si je continue à perdre, je vais rester longtemps à l’hôpital. Or je dois passer mon bac… J’ai l’impression que la maladie me dévore. Qu’il ne reste presque plus rien de moi. Pourquoi suis-je si contente de maigrir encore ? »

Pendant près de deux ans, Solène connaîtra l’enfer de l’anorexie. Dans son journal intime, elle raconte ce « monstre » qui s’invite à chaque repas et l’empêche de se nourrir : une petite voix obsédante qui lui renvoie l’image d’une fille « nulle », « énorme », « immonde ».

À force de ténacité, d’amour des siens, d’accompagnement du corps médical, Solène finira par retrouver confiance en elle et goût à la vie. Une libération dont cette jeune fille rayonnante, aujourd’hui étudiante, souhaite témoigner pour toutes les autres.

« J’aimerais que ce livre aide les adolescents à mieux s’accepter, à lâcher prise. Qu’il encourage aussi les parents à demander de l’aide aux premiers signes de la maladie. L’anorexie est un cauchemar. À tout moment de la journée ou de la nuit, on se retrouve en détresse, seule, perdue… au bord du gouffre. »              

Le mot de Ludovic


Au début il s’agissait d’un hors série car il ne correspond pas du tout au format habituel et puis il y a eu sa reponse au sujet de la vraie liberté.

J’ai voulu cette épisode sans artifice ni d’intro et de décrochage en espérant que cela peux aider au moins une personne.

En pleine classe préparatoire Solène à déjà pleins d’idée de voyages et des projets bien concret.

Je lui souhaite le meilleur et de continuer de faire ce qui lui plait ce qui est le cas pour elle à l’heure ou j’écris ses lignes. Je vous laisse avec un format pour le chaine BRUT si vous voulez en savoir plus

PS: Solène m’a échanger trois exemplaires dédicacer de son livre, deux seront envoyer dans deux établissement qui accueil les jeunes en situation d’anorexie mentale, un exemplaire sera à gagner sur les réseaux sociaux.

Ludovic.